Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
Global climat

mai 2024

Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
L’effondrement des écosystèmes serait dangereux pour l’économie. Il peut se répercuter au niveau global. La forêt amazonienne, les tourbières tropicales et les mangroves contiennent actuellement environ 220 gigatonnes de carbone. Si elles sont perturbées, elles peuvent subir des changements incontrôlables qui feraient basculer l’écosystème vers une savane non boisée. Leur effondrement provoquerait des émissions de carbone équivalentes à environ 20 ans d’émissions mondiales de CO2 actuelles. Cela pourrait empêcher le maintien d’un climatique de moins d’ 1,5°C, et aurait de nombreuses conséquences directes.
Exclusive: Planet is headed for at least 2.5C of heating with disastrous results for humanity, poll of hundreds of scientists finds

avril 2024

L’hiver passé, des nuages stratosphériques couleur de l’arc-en-ciel ont été observés en Europe. Ils apparaissent habituellement dans les régions les plus froides de la Planète en janvier. En déce…
Global projections of macroeconomic climate-change damages typically consider impacts from average annual and national temperatures over long time horizons1–6. Here we use recent empirical findings from more than 1,600 regions worldwide over the past 40 years to project sub-national damages from temperature and precipitation, including daily variability and extremes7,8. Using an empirical approach that provides a robust lower bound on the persistence of impacts on economic growth, we find that the world economy is committed to an income reduction of 19% within the next 26 years independent of future emission choices (relative to a baseline without climate impacts, likely range of 11–29% accounting for physical climate and empirical uncertainty). These damages already outweigh the mitigation costs required to limit global warming to 2 °C by sixfold over this near-term time frame and thereafter diverge strongly dependent on emission choices. Committed damages arise predominantly through changes in average tempe
Une revue publiée dans PLOS One cumpulse les risques du climat pour les infrastructures. Selon l’étude, les dommages annuels moyens s’élèvent actuellement à environ 700 milliards de dollars par an. Ce chiffre devrait être multiplié par plusieurs au cours du 21e siècle en raison du changement climatique et aussi de l’expansion des actifs d’infrastructure. Le climat aura notamment des conséquences sur le transport routier et ferroviaire : les hautes températures amènent des distorsions des rails, des changements importants de températures provoquent le dégel du permafrost et des déformations du terrain. Les précipitations intenses causent des inondations, des glissements de terrain, des perturbations de l’équipement électronique, des mouvements des rails, et des dépôts sur les voies. Les vents forts déracinent les arbres et transportent d’autres objets, par exemple des tôles ondulées, qui interrompent les lignes électriques et endommagent les rails.
Over the past year, there has been a vigorous debate among scientists – and more broadly – about whether global warming is “accelerating”.

mars 2024

Il y a quelques années, le Programme pour l’Environnement des Nations Unies (PNUE) a soigneusement élaboré un plan pour sauver la Planète. Les émissions de carbone planétaires devaient être réduites de 7,5% ou 8% par année dès 2020. Si ce plan avait été appliqué, elles auraient aujourd’hui baissé d’un tiers. Le PNUE note malheureusement à la fin de 2023 que les émissions de carbone ont atteint un nouveau record, même si celles de l’Europe diminuaient déjà à la fin de 2022. Il est devenu évident que ces objectifs ne seraient pas atteints et que chaque année nous ajoutons à l’atmosphère trop de CO2. D’autres plans de sauvetage de la biosphère ont donc été développés.
A long-term sea level dataset shows ocean surface heights continuing to rise at faster and faster rates over decades of observations. Global average sea level rose by about 0.3 inches (0.76 centimeters) from 2022 to 2023, a relatively large jump due mostly to a warming climate and the development of a strong El Niño. The total rise is equivalent to draining a quarter of Lake Superior into the ocean over the course of a year.
L’évaluation européenne des risques climatiques se penche sur les risques du changement climatique pour l’Homme, la société et l’environnement. Elle cite les chiffres du GIEC et remarque qu’i…
Elizabeth Kolbert on a record-breaking rise in global sea-surface temperatures, which suggests that scientists may not understand how fast the climate is changing.
Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.

février 2024

Le mois de février 2024 dépasse de façon spectaculaire les records de chaleur dans le monde entier. La température des océans est très élevée. La glace marine Antarctique est très réduite. Le phéno…
Les océans contiennent de l’oxygène (O2). Celui-ci permet aux poissons et à tous les animaux marins de respirer, par les branchies ou par la peau pour certains organismes. Il se dissout dans l’eau qui affleure au contact de l’air à la surface des océans. Le plancton photosynthétique, algues minuscules en suspension, en forme aussi dans les mètres supérieurs où pénètre la lumière du soleil. L’eau froide est plus riche en oxygène que l’eau tiède. Un excès de nutriments, d’azote et de phosphore dans l’eau, peut provoquer une prolifération d’algues. Celle-ci est souvent suivie d’un décuplement de la population de bactéries qui consomment finalement tout l’oxygène. Ainsi se forme une zone morte, ou zone en hypoxie (pauvre en oxygène). Les poissons qui y pénètrent ne peuvent pas respirer et meurent. La pollution agricole est actuellement la principale cause de formation de ces zones, et elle doit être soigneusement contrôlée. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. En Angleterre, 80% de rivières sont polluée
Mitigating climate change necessitates global cooperation, yet global data on individuals’ willingness to act remain scarce. In this study, we conducted a representative survey across 125 countries, interviewing nearly 130,000 individuals. Our findings reveal widespread support for climate action. Notably, 69% of the global population expresses a willingness to contribute 1% of their personal income, 86% endorse pro-climate social norms and 89% demand intensified political action. Countries facing heightened vulnerability to climate change show a particularly high willingness to contribute. Despite these encouraging statistics, we document that the world is in a state of pluralistic ignorance, wherein individuals around the globe systematically underestimate the willingness of their fellow citizens to act. This perception gap, combined with individuals showing conditionally cooperative behaviour, poses challenges to further climate action. Therefore, raising awareness about the broad global support for climat
Avec +0.70°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, le mois de janvier 2024 est un nouveau record de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.58°C) est dépassé de 0.12°C. L’anomalie en janvier 2024 atteint 1.63°C au-dessus de la moyenne préindustrielle.
Anthropogenic emissions drive global-scale warming yet the temperature increase relative to pre-industrial levels is uncertain. Using 300 years of ocean mixed-layer temperature records preserved in sclerosponge carbonate skeletons, we demonstrate that industrial-era warming began in the mid-1860s, more than 80 years earlier than instrumental sea surface temperature records. The Sr/Ca palaeothermometer was calibrated against ‘modern’ (post-1963) highly correlated (R2 = 0.91) instrumental records of global sea surface temperatures, with the pre-industrial defined by nearly constant (<±0.1 °C) temperatures from 1700 to the early 1860s. Increasing ocean and land-air temperatures overlap until the late twentieth century, when the land began warming at nearly twice the rate of the surface oceans. Hotter land temperatures, together with the earlier onset of industrial-era warming, indicate that global warming was already 1.7 ± 0.1 °C above pre-industrial levels by 2020. Our result is 0.5 °C higher than IPCC estim

janvier 2024

Le seuil de 1.5°C a été choisi pour éviter une déstabilisation dangereuse du climat terrestre. Au-delà, des éléments de la biosphère pourraient changer à grande échelle. La mort d’une forêt tropicale émettrait du gaz carbonique qui augmenterait l’effet de serre, la fonte des glaces polaires ferait monter le niveau des mers. Le rapport GTP (global tipping points : points de bascule globaux), écrit par l’Université d’Exeter, notamment le professeur Lenton du GIEC, a tenté une synthèse des connaissances actuelles dans ce domaine pour la COP28.
Fixée comme un objectif lors de l’Accord de Paris en 2015, la limite de 1,5°C d’augmentation des températures sur la planète s’éloigne.
James Hansen says limit will be passed ‘for all practical purposes’ by May though other experts predict that will happen in 2030s
La page « Température mondiale actuelle » change de période de référence. La période 1981-2010 est abandonnée au profit de 1991-2020, conformément à la recommandation de l’Organisation Météorologique Mondiale. Par exemple, la carte du 3 janvier 2024 montre les anomalies relatives à 1991-2020 au lieu de 1981-2010 (utilisée sur Global-Climat.com jusqu’à fin 2023).
Avec +1.044°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de décembre 2023 poursuit la série des records mensuels de chaleur. L’année 2023 dans son ensemble est la plus chaude jamais observée, frôlant pour la première fois le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle.
De graves orages sèment la destruction à divers endroits de la Planète, En Australie, en Amérique du Nord, et en Amérique du Sud. Ils sont favorisés par le réchauffement, notamment par a vapeur d&r…

décembre 2023

Les avions en vol rejettent des résidus du carburant consommé. Ces particules favorisent la condensation de cirrus, fins nuages vaporeux Ils empêchent la chaleur de se dissiper et contribuent au r…
Global warming is accelerating because the drive for warming, Earth’s energy imbalance, has doubled in the past decade. Measurement of the acceleration is hampered by unforced tropical (El Nino/La Nina) variability, but a good measuring stick is provided by warming between successive large El Ninos. Strengthening of the current (2023-24) El Nino has raised it to a level similar to the 1997-98 and 2015-16 El Ninos. The first six months of the current El Nino are 0.39°C warmer than the same six months of the 2015-16 El Nino, a global warming rate of 0.49°C/decade, consistent with expectation of a large acceleration of global warming. We expect the 12-month mean temperature by May 2024 to eliminate any doubt about global warming acceleration. Subsequent decline of the 12-month temperature below 1.5°C will likely be limited, confirming that the 1.5°C limit has already been passed.
Avec +1.092°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2023 poursuit la série des records de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.775°C) est dépassé de 0.32°C. L’année 2023 sera la plus chaude jamais observée et le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle devrait être atteint sur la moyenne annuelle.
Les émissions mondiales de CO2 ont encore augmenté cette année pour atteindre un nouveau record, selon une étude du...
The critical annual update revealing the latest trends in global carbon emissions
L’amincissement de la stratosphère mène à des changements de températures plus brutaux près du sol. Il provoque aussi une aggravation des turbulences.

novembre 2023

La COP28, qui réunira près de 200 pays du 30 novembre au 12 décembre à Dubaï, sera l'occasion de finaliser un exercice inédit, instauré par l'Accord de Paris sur le climat: le bilan mondial ou "global stocktake".
Les responsables européens de prévention de catastrophes se sont réunis cette semaine à une conférence du DRMKC, Centre européen de gestion de risques de catastrophes. Ils ont souligné que la situation en Europe avait changé. Les désastres sont plus nombreux et plus importants. En particulier les inondations et les feux se répandent. La conférence était émaillée de déclarations telles que « je n’ai jamais rien vu de pareil en vingt ans de travail », des inondations incroyables, très, très graves », « les réalités changent sur une Planète en ébullition ».
James Hansen est un des plus grand climatologues du monde. Il a alerté le gouvernement des Etats-Unis sur le réchauffement climatique. Dans cette vidéo, les plus grands spécialistes actuels témoignent de l’excellence de ses prévisions climatiques. Il a aussi une énorme expérience du domaine. Je trouve son travail scientifique sur la montée du niveau de la mer publié en 2016 (lien, lien) très convaincant, plusieurs de ses conclusions et postulats ont été confirmés ces dernières années. Il se bat pour le climat depuis des décennies, et a été arrêté pour lors de manifestations pour le climat devant la Maison Blanche. Il a des grandes connaissances de climatologie. J’hésite donc réellement à le contredire mais j’ai quelques objections. Son travail apporte évidemment de nombreux éléments utiles, et il a le mérite d’être disponible aujourd’hui. Vu la situation climatique, nous ne pouvons pas attendre le prochain rapport du GIEC.
Avec +1.09°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’octobre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.69°C) est dépassé de 0.4°C. L’année 2023 sera sans aucun doute la plus chaude jamais observée.
Une évaluation menée par la Global Alliance for the Future of Food chiffre pour la première fois la forte dépendance des systèmes alimentaires aux combustibles fossiles.

octobre 2023

Joint action is essential for planetary and human health Over 200 health journals call on the United Nations, political leaders, and health professionals to recognise that climate change and biodiversity loss are one indivisible crisis and must be tackled together to preserve health and avoid catastrophe. This overall environmental crisis is now so severe as to be a global health emergency. The world is currently responding to the climate crisis and the nature crisis as if they were separate challenges. This is a dangerous mistake. The 28th UN Conference of the Parties (COP) on climate change is about to be held in Dubai while the 16th COP on biodiversity is due to be held in Turkey in 2024. The research communities that provide the evidence for the two COPs are unfortunately largely separate, but they were brought together for a workshop in 2020 when they concluded: “Only by considering climate and biodiversity as parts of the same complex problem … can solutions be developed that avoid maladaptation and max
Les arbres sont la façon la plus fiable d’extraire le carbone de l’atmosphère.
Avec +1.128°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de septembre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2020 (+0.63°C) est dépassé de 0.5°C. A trois mois…

septembre 2023

Nous sommes au début d’un phénomène El Niño qui provoque une augmentation des températures planétaires. Ces prochains mois, elles s’élèveront probablement de quelques dixièmes de degré, de plus en plus loin des valeurs connues de l’Humanité. James Hansen estime que le seuil de 1.5°C sera temporairement dépassé au printemps 2024. Ce seuil a déjà été momentanément franchi au cours des premiers jours de septembre. Les données ERA5 pour la période du 1er au 13 septembre, couplées aux archives du Met Office, montrent que la moyenne provisoire mensuelle est de 1.6°C sur les 13 premiers jours de septembre.
Techniques such as solar radiation management may have unintended consequences, scientists say
Study highlights conflict between Washington’s claims of climate leadership and its fossil fuel growth plans
To prevent catastrophe, these countries must stop new extraction projects n: Just 20 countries, led overwhelmingly by the United States, Canada and Russia, are responsible for nearly 90 percent of new greenhouse gas emissions threatened by new oil and gas fields and fracking wells planned between now and 2050. If these extraction projects are allowed to proceed, they will lock in climate chaos and an unlivable future.
Le «Global Stocktake», premier point d’étape des engagements pris par les Etats dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat en 2015, est publié ce vendredi 8 septembre.
Avec +0.886°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d‘août 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2016 (+0.577°C) est dépassé de 0.31°C. L’année 2023 est partie pour être l’année la plus chaude jamais observée.
When attempting to quantify future harms caused by carbon emissions and to set appropriate energy policies, it has been argued that the most important metric is the number of human deaths caused by climate change. Several studies have attempted to overcome the uncertainties associated with such forecasting. In this article, approaches to estimating future human death tolls from climate change relevant at any scale or location are compared and synthesized, and implications for energy policy are considered. Several studies are consistent with the “1000-ton rule,” according to which a future person is killed every time 1000 tons of fossil carbon are burned (order-of-magnitude estimate). If warming reaches or exceeds 2 °C this century, mainly richer humans will be responsible for killing roughly 1 billion mainly poorer humans through anthropogenic global warming, which is comparable with involuntary or negligent manslaughter. On this basis, relatively aggressive energy policies are summarized that would enable im

août 2023

In March and April 2023, some Earth scientists began to point out that average sea surface temperatures had surpassed the highest levels seen in a key data record maintained by NOAA. Months later, they remain at record levels, with global sea surface temperatures 0.99°C (1.78°F) above average in July. That was the fourth consecutive month they were at record levels.
As we mark 100 days until the COP28 UN climate summit, the urgency of addressing the climate crisis has never been more palpable. Global failures to mitigate emissions and adapt to the impacts continue to wreak havoc on the planet, and we’re seeing this in a range of ways. Unprecedented extreme weather events have occurred with frightening regularity in 2023. In March, over 500 people lost their lives when Cyclone Freddy struck Malawi. Last month, flooding in the Philippines caused by Typhoons Doksuri and Khanun displaced more than 300,000 people, and the recent wildfires that ravaged Hawaii – in part exacerbated by climate change – continue to make for distressing headlines. This list is likely to become even longer by the end of the year, when COP28 gets underway in the United Arab Emirates (UAE).
Sécheresse et Incendies Des catastrophes nouvelles surviendront probablement dans les prochaines décennies, et une meilleure anticipation nous protégerait beaucoup. Une analyse de l’évolution possi…
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 avait été de loin le plus chaud des archives ERA5. Ce début août est parti sur les mêmes bases, avec une anomalie sur les 11…
Canicules En été 2022 l’Europe a subi des canicules sans précédent. L’Espagne et la France ont connu des températures exceptionnelles, les 40°C ont été dépassés en Espagne dès juin, et juille…
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.563°C) est dépassé de 0.33°C. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.

juillet 2023

Juillet 2023 est le mois le plus chaud jamais enregistré, soulignant l'urgence climatique et appelant à une action immédiate pour atténuer le réchauffement global.
Le vent destructeur Le 24 juillet 2023 la ville Suisse de la Chaux-de-Fonds, située à environ 70 km à l’est de Besançon, a été frappée par une violente tempête, avec des rafales à 217 km/h me…
Global coal consumption climbed to a new all-time high in 2022 and will stay near that record level this year as strong growth in Asia for both power generation and industrial applications outpaces declines in the United States and Europe, according to the IEA’s latest market update.
As the northern hemisphere burns, experts feel deep sadness – and resentment – while dreading what lies ahead this Australian summer
Our work complements and enhances the work of others in the fields of science, health, business, industry, culture, finance, academia, politics and civil society. Established in 2012, the GSCC is a collaborative network of people working across a number of different organisations operating across six continents and covering themes such as climate science and impacts, food and nature, finance and economics, energy, transport, industry, and multilateral climate processes.
Energy firms have made record profits by increasing production of oil and gas, far from their promises of rolling back emissions
Les dernières semaines ont apporté des inondations exceptionnelles en Asie.  Des pluies record ont touché le Japon, la Chine, la Mongolie, l’Inde et  le Pakistan. En Mongolie, des averses…
Avec +0.706°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juin 2023 est le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.542°C) est largement battu alors qu’El Niño émerge à…

juin 2023

Les tempêtes de sable se multiplient dans le monde. Les particules les plus petites sont parfois emportées à des milliers de kilomètres. En 2020, nous nous sommes même réveillés en Europe dans un m…